Le Gran Turismo 50 doté de la technologie Seayo Control sera présenté en septembre et le prototype du Figaro Bénéteau 3 sera mis à l’eau en juillet!
Le Grand Turismo 50 de Bénéteau sera présenté officiellement au Festival de la Plaisance de Cannes en septembre prochain!
Alliant technologie, élégance et sensations, le Gran Turismo 50 couronnera très prochainement la gamme qui a permis à Bénéteau de renouveler en à peine 2 ans le style sport-cruiser.
En configuration Hardtop ou Sportfly, cet amiral Gran Turismo réserve des surprises en termes d’innovation.
Synthèse de l’expertise Bénéteau Power, de l’identité des designers Nuvolari & Lenard et du talent d’Andreani Design, l’unité annoncée promet style, vélocité et espaces de vie remarquablement organisés.
Conçu pour des plaisanciers qui aiment afficher leur différence, le Gran Turismo 50 offrira autant de plaisir à vivre à bord que de sensations en navigation.
Nouvelle technologie Seayo Control de Bénéteau
Le Gran Turismo 50 sera muni de la technologie Seayo Control. Il s’agit d’une interface web qui simplifie l’accès à de nombreuses fonctionnalités du bateau. À la fois simple, sécurisante, complète et ludique, Seayo est un véritable ordinateur de bord intégré au bateau pour assister la navigation et la vie à bord. Seayo Control sera prochainement installé sur tous les modèles de Bénéteau qu’il s’agisse d’un bateau à moteur ou d’un voilier. Chaque modèle disposera d’une version personnalisée.
Parfaitement sécurisé, ce système fondé sur le multiplexage équipe depuis déjà un certain nombre d’années certains bateaux de course. Qui sait si Armel Le Cleac’h l’aurait emporté dans le dernier Vendée Globe sans ce précieux assistant de bord ?!
Ce pas important vers une simplification de l’utilisation du bateau accroît sensiblement l’aisance de navigation, le confort de la vie à bord et le sentiment de sécurité. Tout comme en son heure, l’ordinateur de bord a permis à chaque automobiliste de gagner en plaisir de conduite…
Adaptée à chaque modèle de bateau, l’interface Seayo Control affiche sur un écran d’accueil les pictogrammes universels correspondant aux principales fonctionnalités électroniques présentes sur l’unité. D’un simple tape sur l’icône choisie, on accède à la gestion des éclairages, de la climatisation, de la hifi, des sources électriques (AC), des pompes de cale ou à une page dédiée à la navigation. Permettant également de contrôler le niveau des batteries, celui des fluides ainsi que de consulter des indicateurs moteur. Cet accès immédiat et ergonomique à l’information accroit considérablement le sentiment de maîtrise du bateau.
On citera pour exemple, la page de gestion de l’éclairage qui, une fois sélectionnée depuis le menu d’accueil, permet d’allumer, d’éteindre ou de régler l’intensité de la lumière dans chaque zone du bateau par simple jeu sur le curseur digital.
Pour chaque fonction, l’interface se décline sur le même modèle. La page Switching permet de récapituler les fonctionnalités. L’heure, le guide d’utilisation ainsi que les paramétrages généraux se trouvent pour leur part au bas de l’écran d’accueil.
Véritable ordinateur de bord intégré au bateau, l’interface Seayo accompagne et assiste la navigation autant que la vie à bord. Et parce qu’il est possible de connecter plusieurs tablettes sur l’interface, chaque membre de l’équipage peut accéder d’où qu’il se trouve à l’ensemble des fonctions proposées. Premier constructeur à offrir une solution aussi complète, Bénéteau dispose d’un nouvel atout technologique à même de séduire les plaisanciers les plus exigeants, qu’ils soient néophytes ou aguerris.
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Figaro Bénéteau 3
Le prototype sera mis à l’eau lors du mois de juillet !
Tandis que la Solitaire du Figaro vient de vivre le grand départ de sa 48e édition, dimanche 4 juin à Bordeaux, le Groupe Bénéteau Racing Division est à l’œuvre pour faire naître l’héritier, le Figaro Bénéteau 3, appelé à remplacer le Figaro Bénéteau 2 dès 2019.
S’il est encore un peu tôt pour imprimer le faire-part de naissance du prototype, attendue peu après le 14 juillet, le bébé pousse bien dans l’intimité des chantiers du Groupe Bénéteau. « Nous sommes presque dans les temps, se réjouit Marc Vaillier, le responsable du programme au sein du Groupe Bénéteau. Nous avons à peine deux semaines de retard. Il y a toujours de petites mises au point supplémentaires qui nécessitent un peu de temps, mais nous tenons notre planning ».
Preuve en est, tout va bien concernant la coque du prototype sur lequel les premiers tests de navigation et les équilibrages seront réalisés avant le lancement de la production en série de ce monocoque monotype à foils. La coque, après avoir été infusée, vient d’être entièrement cloisonnée, la ligne d’arbre de moteur est posée, les cloisonnements de renfort de quille sont en place. Le pont, lui aussi infusé, est terminé et a été démoulé en début de semaine. L’accastillage du pont sera installé dans le courant de la semaine qui vient. Dans ces mêmes dates, un pontage à blanc sera réalisé afin de vérifier la conformité des éléments et toutes les pièces annexes en polyester (caisse de moteur, descente) seront également prêtes.
Assemblage en juin, matage en juillet.
Les pièces du puzzle sortent progressivement des laboratoires du Groupe Bénéteau. « Le mois de juin sera le mois de l’assemblage, mais on a déjà bien démarré, assure Marc Vaillier. L’objectif reste le pontage définitif entre le 19 et le 24 juin, sachant qu’on devrait recevoir tout ce qui concerne le périphérique des foils la semaine d’avant ».
La quille?
Le monocoque de 10,85 m hors-tout sera lesté au tout début juillet.
Les foils?
Ils seront installés la semaine suivante, mais le système de guidage et les rotules seront déjà en place.
Les voiles?
Elles sont dessinées et il ne reste qu’à définir les points de finition entre le voilier North Sails et Yoann Richomme, vainqueur de la Solitaire Bompard le Figaro en 2016 et skipper référent sur le prototype en tant que responsable de la commission jauge et sécurité de la Classe Figaro.
Le mât?
Tout sera prêt pour l’accueillir la 3e semaine de juillet et, si tout se passe bien, il sera livré directement au port – qui n’a pas encore été choisi, mais qui sera forcément vendéen – où le Figaro Bénéteau 3 aura été mis à l’eau.
Août et septembre : deux mois de tests
Les premières navigations du premier foiler monotype dessiné par le cabinet d’architectes Van Peteghem-Lauriot Prévost sont ainsi prévues pour les tout derniers jours de juillet et elles se cumuleront pendant deux mois. L’objectif : tout tester, notamment la position de la quille par rapport au mât, ce qui permettra d’entériner la structure de la coque. Autre point crucial à valider et qui requiert un temps long de test : la position de l’accastillage, qui se joue en centimètres. De ces décisions attendues dépendra le positionnement des renforts posés dans la mousse du pont. Enfin, il faudra faire les bons choix pour la position de la quille, afin de déterminer une bonne fois pour toutes l’exacte configuration du puits de quille.
Mise en production début octobre
La production des premiers monocoques de série à foils de l’histoire de la navigation pourra alors enfin débuter. « Nous comptons bien être en ordre de marche pour alimenter la chaîne de production dès les premiers jours d’octobre, conclut Marc Vaillier. Nous allons chercher à sortir une ou deux coques d’avance : fabriquer ces grosses pièces de composite polyester demande du temps et de la méthode et c’est la clé du tempo si nous voulons sortir un monotype par semaine ». Début octobre, le Figaro Bénéteau 2 sera alors à l’aube de sa dernière saison de course au large avant une retraite bien méritée.
Informations : www.beneteau.com