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PRINTEMPS 2011 QUÉBEC YACHTING 58

Après quelques semaines d’acrobaties, de raffinement dans l’art d’éviter les autos et les tuk-tuks, on s’habitue, on prend même goût. On connaît les commerces et les commerçants, les restaurants, l’emplacement des rues principales qu’on identifie par un magasin (celui qui vend des pâtes italiennes par exemple), un temple, une église, un marché public… On prend régulièrement un tuk-tuk. On ne demande plus le prix de la

course, car le chauffeur a tendance à exagérer avec les touristes. On paie le prix qu’on sait juste. Et le chauffeur est content.

Quand on retourne au bateau à partir du joli-de-loin-ex-quai–neuf-de-deux-ans-qui-tombe-en-ruines pour traversiers et qui n’a jamais servi parce qu’on n’avait pas remarqué la trop faible profondeur d’eau pour de telles embarcations, on retombe dans le silence et la quiétude. Vue

d ’Alero , la ville semble belle, attrayante. On est mouillé au milieu du Back-Water, espèce de rivière qui, à quelques kilomètres de la mer et quasi parallèle, forme de larges canaux sur une centaine de kilomètres. La marée y entre et en sort deux fois par jour. Il s’y fait beaucoup de transport maritime et du tourisme fluvial dans des barques traditionnelles qui n’ont de traditionnel que leur jolie forme. Elles sont maintenant poussées par de puissants

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